Onze cents kilomètres en France
30 000 mètres de dénivelé - 50 étapes - 11 départements - 161 communes traversées
Ce chemin là, n’est pas un GR balisé unique, ni même un GRP.
Ce sont des chemins ruraux, des pistes forestières, des sentiers de pleine nature, mis bout à bout,
mètre après mètre, et reliés entre eux, avec radinerie, par des rubans de bitume.
Lorsque les routes deviennent inévitables, elles sont choisies étroites et sinueuses.
Elles allongent le chemin d’innombrables zigzags dont la seule utilité est de retarder l’arrivée chaque soir.
Ce sont des chemins ruraux, des pistes forestières, des sentiers de pleine nature, mis bout à bout,
mètre après mètre, et reliés entre eux, avec radinerie, par des rubans de bitume.
Lorsque les routes deviennent inévitables, elles sont choisies étroites et sinueuses.
Elles allongent le chemin d’innombrables zigzags dont la seule utilité est de retarder l’arrivée chaque soir.
Onze cents kilomètres de sentiers, de montagnes en collines, de ruisseaux et rivières, d'arbres, de fruits murs, de chants d'oiseaux, de bourdonnements d'abeilles, de vent dans le feuillage et de silence aussi. Ce silence divin de la liberté la plus chérie !
Onze cents kilomètres dans la nature, solitaire mais jamais seul, le jour animal parmi les autres, curieux de tout, cultivant la tolérance, l’humilité et le partage des fleurs avec les insectes.
Onze cents kilomètres de rencontres éphémères d'hommes et de femmes dont je ne saurais jamais rien de plus que quelques belles minutes de sincérité échangée.
Onze cents kilomètres de bonheur, de Menton à Montmorillon, à m’évader en grimpant tout doucement le long de ma diagonale tracée à travers une France belle à pleurer
Onze cents kilomètres dans la nature, solitaire mais jamais seul, le jour animal parmi les autres, curieux de tout, cultivant la tolérance, l’humilité et le partage des fleurs avec les insectes.
Onze cents kilomètres de rencontres éphémères d'hommes et de femmes dont je ne saurais jamais rien de plus que quelques belles minutes de sincérité échangée.
Onze cents kilomètres de bonheur, de Menton à Montmorillon, à m’évader en grimpant tout doucement le long de ma diagonale tracée à travers une France belle à pleurer